Le long du littoral norvégien, l’Express Côtier Hurtigruten constitue le rêve de tout fanatique de la Scandinavie. Un bateau part quotidiennement de Bergen et assure en 12 jours et à une vitesse moyenne de 15 nœuds la totalité de la croisière jusqu’à Kirkenes, à proximité de la frontière russe, et retour à Bergen. Il relâche dans les ports pour décharger du fret et des voitures. Parfois, l’escale dure plusieurs heures, le temps pour les passagers de se dégourdir les jambes et visiter Alesund, Trondheim ou Bodo. L’occasion aussi et pourquoi pas de partir en excursion en reprenant le bateau un peu plus loin.
Décès de Yolanda Rojal
Nous avons la tristesse de vous faire part du décès, le lundi 17 février, de Yolanda Rojal, qui fut membre d’ ASSET / Presstourism. Yolanda Rojal a également été la présidente de l’Association de la Presse Etrangère en Suisse (APES).
La cérémonie d’adieu aura lieu le lundi 24 février à 15 h à l’église catholique de Ferney-Voltaire, 1 rte de Gex.
L’apothicairerie de l’Hôtel-Dieu, joyau du patrimoine
Le magnifique ensemble de l’Apothicairerie de Bourg-en-Bresse se compose de trois pièces remarquablement conservées, dont l’un des rares laboratoires ouvert au public et encore en parfait état de fonctionnement, une pièce de stockage des matières premières et l’officine, riche de par son contenu.
L’apothicairerie est l’ancienne pharmacie de l’ancien hôpital ouvert en 1652. La construction du nouvel Hôtel-Dieu démarre en 1782, selon les plans de Pierre-Adrien Pâris, architecte renommé ayant œuvré pour Louis XVI, puis supervisé par l’architecte bressan Gaspard Chauverêche jusqu’à son achèvement en 1790. L’imposant bâtiment s’organise autour d’un vaste cloître, surmonté du dôme de la chapelle.
Le monastère royal de Brou, joyau du gothique flamboyant
Aux portes de Bourg-en-Bresse, le monastère royal de Brou, c’est d’abord la merveilleuse histoire d’un amour qui se voulait éternel. Bâti dans la pierre et le marbre au début du XVIème siècle par Marguerite d’Autriche, ce chef-d’œuvre abrite trois magnifiques tombeaux.

Sous sa toiture de tuiles aux couleurs disposées en losanges et vernissées, l’église Saint-Nicolas-de-Tolentin de Brou qui jouxte le monastère a fière allure.
Belles rencontres autour du lac Léman
Merci à Voltaire, même s’il n’y est pas grand-chose. Ici, dans ce château de Saint-Saphorin-sur-Morges, il aurait été vivement éconduit pour s’être moqué de l’intérêt de son hôte, raillé parce qu’il lisait la Bible. « Qu’on attelle des chevaux de Monsieur de Voltaire », aurait dit l’offensé pour signifier au philosophe d’avoir à déguerpir au plus vite.
Jorge Canete est un inconditionnel de Voltaire. Chez lui, le philosophe est partout. Une pièce entière est même tapissée de pages du philosophe arrachées – pardonnable sacrilège – à des ouvrages du XVIIIè siècle. Sur rendez-vous, Canete fait même visiter sa demeure sans oublier de parler de Voltaire et de ses chevaux attelés à la hâte. Cette seule visite, avec vue sur les vignobles d’antan et le Léman de toujours, vaut à elle seule la visite.
Saint-Moritz, courses de chevaux sur neige
En février, le lac gelé de Saint-Moritz résonnera aux sons des sabots de chevaux. Ce lieu de prestige sera le rendez-vous durant trois dimanches du sport hippique au plus haut…
Les villages d’igloos : décors magique, émerveillement et ambiance chaleureuse !

Les villages d’igloos à Engelberg-Titlis, Gstaad, Davos-Klosters, Zermatt, sont entièrement reconstruits chaque année : univers de rêve impressionnants, conçus pour un seul hiver grâce à des artistes de neige internationaux.
Le nouveau site est ouvert
Notre site fait enfin peau neuve ! Pour le webmaster, il est beaucoup plus simple, fluide et rapide. Pour tous les visiteurs, il permet un accès plus clair grâce à une recherche par mots, dates, etc. Pour les membres, il réserve aussi une zone d’accès restreint, uniquement accessible par un mot de passe. Les auteurs de textes et reportages peuvent dès maintenant faire connaître leurs articles récents ainsi que ceux, même anciens, qu’ils souhaitent voir figurer à nouveau.
Les singeries de Gibraltar
Alex Décotte
Pendant plus de quinze ans, de 1969 à 1985, les familles ne purent se parler (par gestes) que de part et d’autre d’une double clôture de treillis et de barbelés. Tout passage était interdit, dans un sens comme dans l’autre. Et pourtant, nous n’étions ni à Berlin, ni à la frontière des deux Corée, ni même entre Mexique et Etats-Unis. Non, cela se passait à l’extrême sud de l’Europe occidentale, entre l’Espagne de Franco et le territoire britannique de Gibraltar.
Le froid en fête au Québec
Gérard Blanc
Moins trente-cinq degrés Celsius! Voilà la température qu’affrontent les habitants de Montréal au cours d’une saison hivernale qui peut durer cinq mois, et fait partie de la vie des Québécois qui savent en tirer parti jusqu’à l’apparition des premières libellules.
Carouge: cité des artisans
Christine Ansermet
Dans le Vieux-Carouge, le long de certaines rues s’alignent encore de belles façades à arcades de maisons artisanales estampillées du 18ème siècle avec, côté jardin, les caractéristiques balcons à balandrier. Des bâtisses qui rappellent qu’en 1790 la ville comptait quelque 450 artisans spécialisés dans une trentaine de métiers. Si certains ont disparu, d’autres ont subsisté alors que de nouveaux sont apparus. Tour d’horizon des métiers artisanaux encore présents à Carouge.
Le Québec au fil du Saint-Laurent
Saskia Galitch
Suivre les caprices du fleuve, artère vitale de la Belle Province, c’est s’offrir un voyage riche en dépaysement et en petits bonheurs. Petite escapade de quelques jours en suivant l’itinéraire du fleuve, au départ de Montréal.
Genève de l’histoire, des contes et des légendes
Connaissez-vous la légende du lac Léman? Pour Rabelais, c’était «la faute à Gargantua». Un jour d’été, le géant se rendit à Genève. Il faisait une chaleur torride. Il n’y avait pas de lac, seulement le Rhône. Impossible de boire dans ce mince filet d’eau. Il creusa de sa main gauche une grande cavité pour accumuler de quoi boire, ce qui donne aujourd’hui le lac Léman. Il posa la terre de côté et en fit une montagne pour les habitants qui s’exclamèrent en disant «ça lève!», ce qui donna son nom à la montagne du Salève.









