Sixième étape : Oulan-Bator et désert de Gobi

Encombrée, polluée et bruyante, la capitale mongole, Oulan-Bator, a été construite au temps du communisme selon les règles architecturales du communisme. Pas vraiment attrayant. Pourtant, l’atmosphère y est plus cordiale qu’en Russie. Parfois même affectueuse. J’y étais déjà venu, en route vers les grandes steppes. J’y suis revenu depuis lors. Je l’ai toujours détestée et aimée à la fois. J’y retournerais bien plus volontiers qu’à Moscou ou Pékin.
Quant au désert de Gobi, immensité ondulée et blanchâtre, il scintille jusqu’en pleine nuit dans un décor improbable et infini.
Demain : en route vers Pékin